Le spectre au sol me murmure des mots. Je n'ai aucune compassion pour la vermine tel que lui. Alors qu'il me murmure d'une voix mourante de me rapprocher je me dirige calmement vers le cadavre de son apprenti. De toute manière le mourant n'est plus en état de se déplacer. Je ramasse l'épée en os et la soupèse.
Je m'approche alors du mourant à nouveau et d'un coup sec je lui sectionne la gorge avec l'épée de son propre acolyte.
Comble de l'humiliation pour le mort je me permet de lécher le sang dégoutant de la lame. Deux victimes de plus à mon actif. Une bonne journée. Il ne me reste plus qu'à me faire soigner cette vilaine blessure au côté.